ressentie pour diriger l’école supérieure du professorat et de l’éducation, Dominique Verdoni évoque les défis du nouvel outil à l’heure où l’Éducation nationale est encore au coeur du débat
Inaugurée à la rentrée, l’ESPE de l’université de Corse n’a pas été à 100 % opérationnelle pour autant. Mais cela ne saurait tarder.
L’entité qui a succédé à l’Institut universitaire de formation des maîtres vient de vivre une période élective qui lui a permis de se doter des instances conformes à ses statuts. Désormais, le processus de désignation d’un directeur ou d’une directrice est en cours.
La phase ultime d’audition devant les 27 membres du conseil de l’école a débouché sur un avis très favorable unanime au bénéfice de Dominique Verdoni.
Les ministres de l’Enseignement supérieur et de l’Éducation nationale auront le dernier mot, mais celle qui a drivé l’IUFM et géré la transition en qualité d’administratrice provisoire devrait se retrouver à nouveau en première ligne. Avec, déjà, une idée de ce qui l’attend.
Une délicate double tutelle ministérielle, le grand chantier de la réforme des rythmes scolaires, le bilinguisme et bien sûr la meilleure des formations pour les futurs enseignants. L’ESPE de Corse n’a pas vu le jour pour rien.
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