Le Samu social a fermé 5000 places à Paris alors qu’il en manque plus de 13 000 rien qu’en Ile-De-France.
Dans de nombreux départements, des centres sont obligés de fermer leurs portes sans qu’aucune solution alternative d’hébergement ne soit proposée aux personnes.
Il devient urgent de prévoir un moratoire sur les fermetures de places d’hébergement et le rétablissement des crédits d’urgence par l’Etat. Par ailleurs, il convient de réfléchir à une refondation complète de l’accès au logement, une nouvelle répartition des moyens qui y sont consacrés et trois mesures immédiates : la construction de logements très sociaux, la suspension des expulsions locatives pour les locataires de bonne foi et le développement de l’intermédiation locative.
La solidarité nationale trouve tout son sens en cette période de crise et nous nous devons de la préserver.
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