epuis son ouverture en 1983, la filière d’Etudes corses s’est beaucoup cantonnée à la formation des enseignants. La généralisation du bilinguisme pourrait bien élargir le champ des débouchés
Le contexte actuel pourrait changer la donne. Si les Studii corsi ont longtemps été associés à l’éducation et au Capes de langue et culture corses (LCC), l’espace à intégrer semble, aujourd’hui, bien plus large, notamment en termes de débouchés pour ses étudiants.
« La coofficialité induirait une croissance des besoins en langue corse », soutient Ghjacumu Thiers, professeur à l’université. Elle enclencherait un mécanisme avec une conséquence effective pour les étudiants de LCC. « Actuellement, on voit déjà que des ressources manquent. Pour répondre aux besoins de la société, il faut des moyens précis. Mais il nous manque un plan de formation », explique l’universitaire.
« Provoquer le besoin »
Ainsi, pour Ghjacumu Thiers, il s’agit de « provoquer le besoin
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by @Lazezu
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