France 3 Corse lui a consacré un 52 minutes, projeté le 17 septembre à la salle des congrès d’Ajaccio. Jean-Noël Pancrazi, d’oeuvre en oeuvre, s’est affirmé comme l’un des écrivains majeurs de notre temps.
Ses racines sont en Corse. Son enfance, il l’a laissée en Algérie. Conversation sur le temps, le tout et le rien. Sur ce qui nourrit son écriture. Son destin méditerranéen.
– – Corsica : L’Algérie, la Corse. Dans la chronologie des événements. Dans votre esprit, aujourd’hui, où vous situez-vous en Méditerranée ?
– Jean-Noël Pancrazi : L’Algérie où je suis né. La Corse de mon père. Sans oublier la terre catalane de ma mère. Et donc, toujours, dans le passé, aujourd’hui, à l’horizon de tout : la Méditerranée. J’aime dire que je suis méditerranéen, pleinement méditerranéen. La Méditerranée, c’est pour moi l’harmonie, et souvent la beauté, l’échange. Cela me ravit toujours de revoir la méditerranée ; qui l’a le mieux chantée, célébrée, que Tino Rossi. J’écoutais à nouveau sa chanson, ce samedi. Et les paroles, le rythme, sa voix emportaient, vous donnaient confiance en la Méditerranée, comme si elle seule pouvait rassembler, donner envie d’aller vers les autres et de les aimer.
– C : Il y a Ajaccio et le village. Deux histoires (ou non-histoires). Deux nostalgies.
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by @Lazezu
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