Le 16 octobre 2012, le bâtonnier Antoine Sollacaro était assassiné dans le centre d’Ajaccio.
Six mois plus tard trois personnes proches, selon la police, du «petit bar» étaient mises en examen. Si le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a salué le fait qu’une «bande de dangereux criminels ait été mise hors d’état de nuire», l’enquête est pourtant loin de son terme. De la moto volée au mobile réel de cet homicide, la justice peine a combler les trous. Par ailleurs dans un entretien à paraître ce mercredi dans Corse-Matin, Paul Sollacaro, le fils de l’avocat assassiné, évoque la possibilité de se constituer partie civile. Retrouvez le dossier complet dans Corse-Matin ce mercredi 16 octobre. (une personne a été interpellée ce matin dans le cadre de cette enquête, voir Dossier ci dessous)
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by @Lazezu
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