il devrait être installé à la fin du mois d’octobre avec un mandat de travail d’environ six mois. Il dispose déjà d’une feuille de route avec les deux versions différentes de GUy Carcassonne et de José Colombani
Il faut battre le fer quand il est chaud. La première vague du projet de réforme, sur la nécessité d’inscrire la Corse dans la Constitution, a été validée par un consensus qui a dépassé les espérances de ses auteurs. La deuxième, sur le foncier et sur le statut de résident, ne recevra certainement pas un écho aussi favorable. La troisième est déjà en marche, et c’est celle qui nous intéresse aujourd’hui : l’évolution de l’architecture institutionnelle.
La session à l’assemblée de Corse qui lui sera dédiée n’interviendra pas avant le printemps prochain. Pas avant que ne soient rendues publiques les conclusions du Comité stratégique dont le principe de création a été acté. Il disposera probablement d’un mandat d’une durée limitée pour réfléchir dans un esprit de construction et devenir une force de proposition. Mais il ne travaillera pas sans filets. La commission des adaptations législatives et réglementaires de Pierre Chaubon y a consacré plusieurs réunions et le long chapitre argumenté de son rapport définitif tient déjà lieu de feuille de route.
Trop c’est trop…
La Corse est le morceau de territoire national le plus administré au regard de sa faible démographie : 300 000 habitants, une collectivité territoriale, deux départements, 360 communes, vingt intercommunalités, neuf chambres consulaires, un grand nombre d’établissements publics territoriaux et locaux, en attendant le Padduc…
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by @Lazezu
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