Les cercles de jeux ont souvent nourri l’imaginaire des écrivains ou des scénaristes de films, à l’image de la série télévisée Mafiosa s’appuyant sur le scandale du cercle Wagram. Mais l’affaire jugée dès demain devant le tribunal correctionnel de Marseille, dite du « Cercle Concorde », dépasse largement la fiction en réunissant sur le banc des accusés des militants corses soupçonnés d’assassinats ou de braquages, des hommes d’affaires peu scrupuleux, motivés par l’appât du gain, un banquier suisse… et aussi l’ancien numéro 2 de la cellule antiterroriste de l’Élysée dans les années 80, en la personne de Paul Barril.
Un triple assassinat
Figure centrale du dossier, Paul Lantieri, homme d’affaires bastiais, qui possède notamment une brasserie à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), une discothèque à Bonifacio (Corse-du-Sud). Depuis le 30 novembre 2006, il exploite aussi le Cercle Concorde à Paris, grâce, selon les juges, « à une tolérance administrative accablante » de la part du ministère de l’Intérieur, alors occupé par Nicolas Sarkozy.
L’enquête débute avec un triple assassinat dans un bar à Marseille. Paul Lantieri, dont le train de vie était déjà dans le collimateur de la justice, est soupçonné d’avoir porté assistance à l’un des auteurs du crime.
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