(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Début ce matin (jeudi), du débat tant attendu sur la co-officialité de la langue Corse. Après une présentation du rapport du conseil exécutif par Pierre Ghionga différentes contributions ont été livrées par les élus de l’Assemblée de Corse.
Marie-Antoinette Santoni Brunelli a livré une intervention touchante mais aussi et surtout « politique » a-t-elle dit et non pas « juriste ou constitutionnaliste ». Le ton était donné. Le président Dominique Bucchini a lui aussi estimé que cette co-officialité n’était pas du tout un facteur d’exclusion, loin de là. Un gage de démocratie te d’intégration a dit le président de l’Assemblée de Corse, qui a retracé le long parcours et les différentes délibérations prises au sujet de la langue.
Mais comme l’on pouvait s’y attendre, cette notion de co-officialité est loin d’avoir recueillie l’unanimité. Ainsi, Jean Jacques Panunzi estime que la langue Corse n’a pas besoin d’un régisseur. Allant même plus loin, ce dernier considère que la co-officialité sera discriminatoire et pourrait même aboutir à la notion de préférence nationale. Extrait de l’intervention de Jean-Jacques Panunzi
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