Le procès en appel d’un racket exercé aux dépens d’établissements de nuit du sud de la France, qu’aurait organisé depuis la prison où il est détenu Jacques Mariani, fils d’une figure décédée du banditisme corse, s’ouvre lundi à Aix-en-Provence sous très haute surveillance.
Jacques Mariani comparaît détenu, purgeant une peine de 15 ans de réclusion criminelle pour sa condamnation en 2008 pour l’assassinat d’un nationaliste corse. Il est libérable en 2016 de la maison d’arrêt de Saint-Maur (Indre), d’où il aurait organisé le racket incriminé.
En première instance, Jacques Mariani avait été condamné à sept ans de prison. Sa compagne, Stéphanie Luciani-Mariani, condamné à dix-huit mois de prison dont douze avec sursis a également fait appel de sa condamnation.
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