L’avenue Pascal-Paoli (que les Ajacciens appellent familièrement « montée du tribunal ») n’aura peut-être jamais sa statue du général en chef de la nation corse. Le projet, initié en 2011, était pourtant beau.
Il avait fédéré la ville, le département et la CTC. Un grand nombre des adjoints de la mairie d’Ajaccio s’était impliqué. On avait consulté les hommes de l’art. Alain Becmeur, l’architecte des bâtiments de France, Antoine-Marie Graziani pour le volet historique et Bernard Filippi plasticien et responsable de l’action culturelle de la CTC.
L’artiste, Joël Vergne, avait été choisi et le travail commandé. Pour un montant de 80 000 euros, cofinancé par la municipalité, le conseil général de la Corse-du-Sud et la collectivité territoriale.
La sécurité en question
Les problèmes commencent à la fin du mois d’octobre 2012 avec la publication d’une image virtuelle représentant la statue, à l’endroit prévu pour son implantation : devant les grilles du palais de justice.
Corsica Infurmazione: l’information de la Corse, des Réseaux sociaux et des Blogs politiques [Plateforme Unità Naziunale]
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :