Exit le volet des commentaires nourris, de l’analyse à chaud ou à froid, des levées de boucliers faisant déborder le vase de la polémique, des – souvent tortueux – partages des torts. Place à l’exercice pratique.
Tout le monde y est allé de son mot. Des mots pour Miot, ce conseiller d’État que Napoléon Bonaparte – à l’époque Ier consul – avait envoyé en Corse pour y prendre les fonctions d’administrateur général des départements du Golo et du Liamone. Fonction qu’il avait occupée de mars 1801 à octobre 1802. Des mots pour s’élever contre la décision – aussi suprême, car émanant de la plus haute juridiction, qu’imparable – du Conseil constitutionnel, estimant que l’arrêté relevait de la plus stricte illégalité.
Le couperet des neuf Sages étant désormais tombé et leur sentence actée, restent les situations. Presque aussi diverses qu’il peut y avoir de familles dans l’île. Chacune ayant, de par sa structure constitutive personnelle, en son sein, des conditions propres et donc particulières. Sur lesquelles se greffent des paramètres spécifiques au territoire insulaire. Nombre de nos lecteurs nous ont fait part de leurs inquiétudes et de leurs doutes quant à la possibilité de faire face à cette nouvelle donne instituée, pour l’heure, par la fin de l’arrêté Miot.
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