Le texte qui entérine la suppression du délit de solidarité a été publié mardi 1er janvier au Journal Officiel. En 2009, une nordiste avait été placée 9 heures en garde à vue près de Béthune pour avoir rechargé les téléphones portables de plusieurs migrants.
Ce délit avait été créé en 1945. Jusqu’à présent, les particuliers ou les associations qui aidaient les sans-papiers risquaient jusqu’à 5 ans de prison et 30.000 euros d’amende. Depuis le 1er janvier, ce délit n’existe plus.
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