Pertinent et loquace, voire bavard, le président communiste de l’Assemblée de Corse, Dominique Bucchini, a imprimé de sa forte personnalité l’Humanité d’aujourd’hui.
Il est 9 h 30. Détendu, souriant comme à son habitude, Dominique Bucchini, un café en main, écoute. Et parle. Parle encore. Au temps pour la légende des « taiseux » corses. Le président communiste de l’Assemblée de Corse a des choses à dire. S’installant à la table de la conférence quotidienne, il rayonne. « L’Humanité, c’est ma première lecture de la journée depuis l’âge de dix-sept ans.
Tous les jours, à 8 heures, j’ouvre notre journal », insiste-t-il, comme un hommage au bien commun des communistes et progressistes de ce pays. Après une courte introduction, le directeur de la rédaction, Patrick Apel-Muller, demande aux chefs de rubrique le « menu ». « Je veux dire un mot avant », l’interrompt celui que déjà tout le monde tutoie et n’appelle plus que Dominique. « Vous êtes contents de me voir ? » lance-t-il, l’œil qui frise. « Si j’étais chrétien, je dirais que c’est une espérance partagée. »
Corsica Infurmazione, L’information Corse
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :