[IN MIMORIA] Yves Stella « militantu di a prima trinca »

(www.unita-naziunale.org) : Décès d’Yves Stella dans la nuit du samedi 14 juillet au dimanche 15 de l’année 2012. Né le 8 octobre 1942 à Morsiglia (Haute-Corse). Militant nationaliste de la première heure, il avait été arrêté en 1978 après l’attentat contre le relais de télévision du Pignu en 1977, il avait purgé une peine de prison de trois ans après avoir été condamné à 15 ans par la cour de sûreté de l’état.

Suite à son engagement au sein du FLNC, Yves Stella est menacé de mort. Il est ajouté à une liste de cinq nom  par les services secret français (Vincent Stagnara,Yves Stella, Pierre Poggioli, Alain Orsoni et Leo Battesti) et autres barbouzes du SAC qui voulaient éliminer certains nationalistes corses. Ex-directeur du Ribombu, responsable de la propagande au sein de la Cuncolta Naziunalista, il rejoint le MPA à sa création en 1990. Il devient rédacteur en chef du Journal PAESE du MPA.  Il démissionne de son poste de directeur du journal et du mouvement MPA en 1992. Il crée le magazine Agora dont il sera le rédacteur en Chef.(voir historique ci dessous)

Depuis 1995 il était maire de Morsiglia. Militant de base du PNC. Il est décédé ce matin à l’âge de 69 ans, des suites d’une longue maladie. Ses obsèques seront célébrées mardi après midi au couvent de Morsiglia. (avec RCFM)

Ses obsèques ont été célébrées mardi 17 juillet 2012 à 16 heures dans son village natal de Morsiglia. Plus de 400 personnes sont venues rendre un dernier hommage à Yves Stella mardi au couvent de Morsiglia. Une cérémonie pleine d’émotion dirigée par le vicaire général de Corse, Ange-Michel Valery. De nombreux compagnons nationalistes, des élus, des amis venus de toute la Corse étaient présent pour saluer sa mémoire. La cérémonie s’est conclue par de nombreux témoignages, dont celui de Jean-Christophe Angelini au nom du PNC. La famille s’est ensuite retirée, dans l’intimité, pour l’inhumation au cimetière du village dont il était le maire.

Quelques dates historiques :

1977 : Il participe à une des actions commando d’envergures en plastiquant le relais de télévision de Serra-di-Pigno en août 1977.

1er juin 1978 – Yves Stella est interpellé.  « Des armes, des explosifs, des mèches et des tracts ont été saisis au cours de perquisitions. De nombreuses personnes ont été entendues et près de trente interpellations ont été effectuées sur commission rogatoire de la Cour de sûreté de l’Etat, parmi les dix-neuf personnes gardées à vue à Bastia, et dont le transfert à Paris semblait imminent mardi dernier, se trouve Yves Stella. Arrêté le 1er juin, ce conseiller municipal de Morsiglia, village du cap Corse, est présenté comme l’un des leaders du F.l.n.c. »

 

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Dans la première rafle de juin 1978, celle orchestrée quelques jours avant l’arrivée du Président de la république, Valery-Giscard D’estaing, une grande partie des militants Michel Padovani venait d’être père ; les plus « âgés » étaient Yves Stella et Jules Giamarchi. 17 militants étaient issus de la région bastiaise.

La campagne diffamatoire, orchestrée par le préfet Riolacci et largement répercutée dans les médias, tendant à présenter les membres du FLNC comme des étrangers – des Italiens.

Lorsque les noms des détenus furent connus, beaucoup de Corses témoignèrent de leur probité.

Le soutien aux prisonniers s’élargit considérablement au sein de la population. Beaucoup de militants incarcérés étaient des travailleurs, d’autres étaient chômeurs, ce qui n’est pas synonyme de délinquants. Le dénigrement des autorités à l’égard du FLNC passait de plus en plus mal.

Vingt-quatre personnes ont été déférées, le mercredi 7 juin 1978, à la Cour de sûreté de l’État. 

  • François Lorenzi, vingt-sept ans, employé d’une coopérative agricole à Casamozza ;
  • Yves Stella, (<–lien ici) trente-cinq ans, agent commercial à Bastia : Paul Anziani, vingt-six ans, manutentionnaire à Bastia;
  • Jean-Toussaint Casamatta, vingt-huit ans, comptable à Lucciana ;
  • Jean-Toussaint Sisti, vingt-trois ans, comptable à Lucciana ;
  • Jean-Baptiste Darnaud, vingt-sept ans, sans profession ;
  • Pantaléon Alessandri, vingt-quatre ans, ébéniste à Bastia ;
  • Michel Padovani, vingt-neuf ans, comptable à Bastia ;
  • Dominique Mattei, trente-deux ans, maçon à Bastia ;
  • Antoine Mattei, (<–lien icivingt-sept ans, chauffeur à Bastia ;
  • Jean Bianchi, vingt et un ans, éducateur à Cardo;
  • Mlle Nazarella Morichetti, vingt-trois ans, sans profession, demeurant à Cardo ;
  • Jules Giamarchi, trente-sept ans, infirmier à Bastia ;
  • Pierre Lorenzi, trente-trois ans, agent commercial à Bastia ;
  • Etienne Graziani, vingt-neuf ans, employé de commerce à Bastia ;
  • Guy Pancrazi, vingt-six ans, militaire à la base aéronavale d’Aspretto, près d’Ajaccio;
  • Vincent Stagnara, (<–lien icivingt-huit ans, avocat au barreau de Bastia.
  • Antoine Paoli, trente ans, membre de la C.R.S. no 6 de Saint-Laurent-du-Var ; Interpellé à Nice.
  • Roger Le Mao, vingt-trois ans, maître d’internat à Nice ; Interpellé à Nice.
  • Alain Stuart, vingt-cinq ans, maître d’internat à Nice ; Interpellé à Nice.
  • Jean-François Girier, vingt-six ans, enseignant ; Interpellé à Lyon
  • Patrick Torre, vingt-huit ans, enseignant ; Interpellé à Lyon
  • Jean-Paul Roesch, (<–lien icitrente et un ans, employé de la Caisse nationale d’assurances vieillesse ; Interpellé à Paris
  • Jean-Jacques Mondoloni, quarante-quatre ans, professeur à l’université de Vincennes. Interpellé à Paris
  • Léonard « Leo » Battesti, qui avait participé à  » visage découvert  » à une récente conférence de presse clandestine du F.L.N.C., il est toujours gardé à vue à Bastia et fait l’objet d’une procédure judiciaire particulière.

PROCESDUNPEUPLE

Ces patriotes pour la plupart se revendiquant du Fronte di Liberazione Naziunale di a Corsica représentent les différentes couches sociales du peuple corse.

Un procès historique suivit cette répression en 1979. Pour son appartenance au FLNC Jean Paul Roesch a été condamné à 13 ans de réclusion criminelle (<–lien ici par la Cours de sureté de l’Etat (procès historique des 21).

Après les premières arrestations de militants du FLNC fin des années 70, le premier procès eu lieu en 1979 et donna lieu à la première tribune politique pour le Front. C’est à ce moment là précisément que le FLNC est apparu comme une organisation politique ancrée dans le peuple Corse.

Dans la salle d’audience, deux rangs de gardes mobiles, les familles des patriotes en procès, les journalistes et les curieux. Dans un silence total, les portes s’ouvrent et les premiers patriotes entrent dans la salle… (<–lien ici)

29 septembre 1980 : 15 ans de réclusion pour Yves Stella, un des dirigeant du FLNC, condamné par la Cour de sûreté de l’État. Il sera relaxé au mois de juillet 1981 à la suite de l’annulation du jugement de la Cour de Sûreté par la cour de Cassation en janvier 1981. Dans sa déclaration judicielle, Yves Stella, responsable politique du FLNC, dissait clairement: “Je ne considère pas que l’action menée par le FLNC est une lutte armée. Une lutte armée implique que l’on a décidé de tourner ses armes en direction d’un être humain. Nos armes, nous les avons tournées vers les biens que nous avons partiellement endommagés ou détruits. C’est ce que j’appelle de la propagande armée”. (date du procès confirmé par France 3 Corse)

8 juillet 1981 : Yves Stella retrouve la liberté en ce 8 juillet. Après quelques jours à Paris, voulant éviter le « choc du retour » sur sa terre, c’est en train qu’il traverse la France avec 100 kilos de bagages accompagnés – ses archives – avant de prendre le bateau à Marseille. Trois ans de prison au lieu de quinze… (source Kyrn magazine, signé D.A de 1981). Les membres du FLNC bénéficient de l’amnistie générale avec l’arrivée au pouvoir de la Gauche de François Mitterrand.

1984 : La liste Unita Naziunalista (UNITA) obtient 3 élus aux élections à l’Assemblée de Corse: Pierre (dit Pierrot) Poggioli, président du groupe, Dominique Gall et Yves Stella

Le 19 AVRIL 1985 : Dans une conférence de presse, les élus d’UNITA NAZIUNALISTA, YVES STELLA, DUME GALLET et PETRU POGGIOLI, expliquent les raisons de leur retrait de l’Assemblée de Corse.

Le 5 Décembre 1985: Léo Battesti et Yves Stella se rendent au Val d’ Aoste pour participer à 3 journées d’ animation ayant pour thème  » La Corse,une Nation en lutte « . Les responsables du MCA ont plusieurs entretiens avec les principaux responsables de  » l’ Union Valdotaine  » et des membres du gouvernement autonome.

Le 1er octobre 1987 : Le directeur de l’hebdomadaire U Ribombu, Yves Stella, est interpellé en compagnie de Léo Battesti, après la découverte d’un document du FLNC préconisant « l’élimination physique à grande échelle de Français résidant en Corse ».

1989 : Amnistie des membres du FLNC après la réélection de François Mitterrand. Yves Stella fait parti des membres du FLNC amnistiés cette année là. (Il déclare au journal Libération : «Nous vivions dans un climat d’apaisement où il y avait un partenariat entre l’Etat et les mouvements nationalistes corses»)

Le 17 OCTOBRE 1990 : Démission de LEO BATTESTI, ALANU ORSONI, ainsi que 4 autres membres importants dont IVIU STELLA, DOMINIQUE BIANCHI, JOSE PIETRI et JEAN LOUIS ANTONELLI. A CUNCOLTA NAZIUNALISTA se divise une nouvelle fois. Création du MPA

MARS 1992 : Yves Stella est présent sur la liste MPA (Mouvement pour l’Autodétermination) qui se présente aux élections Territoriales du 22 et 29 mars. (Liste MPA : alain orsoni, leo battesti, dominique bianchi, dominique buresi, jean paul calendini, marie jose bellagamba, michel moretti, alexandre gabrielli, tony fieschi, pierre maushart, henri bona, marc papi, marie francoise dussol, alain di meglio, jean paul calendini, antoine sollacaro, francois leca, pierre louis guerrini, joëlle titrant suzzoni, charles raffalli, jacques marcellesi, francois pantalacci, francois caviglioli, jules pierre leca, jean baptiste grimaldi, jean claude versini, francois xavier prosperi, pierre carcary, antoine antona, f marie beretti, dominique fabrizy, gilbert casanova, vanina le bomin, pierrot griscelli, jose lamberti, pierre savelli, marie ange geronimi, paul coti, lucien casanova, andre simonetti, jacques paoli, pascal mucchielli, p noël giudicelli, felix zonza, addy orsoni, xavier luciani, jean vesperini, pierre beretti, albert tomasi, yves stella, christian berfini)

Le 17 JUILLET 1992 : Le directeur du journal PAESE, YVES STELLA, militant du M.P.A et deux journalistes quittent sa rédaction. Le M.P.A veut un journal d’opinion dans la ligne politique du mouvement. IVIU STELLA veut un journal indépendant. (Il crée ensuite son propre journal AGORA)

Le 14 OCTOBRE 1992 : La tendance du M.P.A favorable à la disparition du F.L.N.C canal HABITUEL démissionne. LEO BATTESTI, MARIE France GIOVANANGELI (secrétaire générale du S.T.C), YVES STELLA et JEAN PAUL CALENDINI veulent créer un nouvel espace de réflexion.

En 1995, il devient maire de Morsiglia, dans le cap Corse, où il était né en 1942 et dont il était déjà conseiller municipal. Une activité qu’il exercera jusqu’à l’aube de sa mort dans le respect de ses administrés et de ses collègues de la région. C’est à ce titre qu’il était intervenu, il y a trois ans, aux Journées de Corte, en expliquant la difficulté qu’avait tout maire à faire valoir son « droit de préemption » sur les terres de sa commune convoitées par des promoteurs. À cette époque Stella avait déjà rejoint la direction des « modérés » du PNC (Parti de la Nation Corse) plus proche de l’évolution de ses convictions. (Mensuel Corsica)

Dans les années 2000 il est au sein du Partitu per a Nazione Corsa (PNC) au cotés de Jean Christophe Angelini. Il fait partie du Cunsigliu Naziunale du PNC

2001 : Lors d’un entretien en 2001, il rappelait que le FLNC comptait au départ « quelques dizaines de membres motivés par un profond sentiment patriotique, attachés aux valeurs de la résistance, de la langue et de la terre corses ». Après « un certain amateurisme » initial, le FLNC s’était structuré autour de « féodalités régionales, de personnes se retrouvant autour de leaders naturels », racontait-il, estimant qu’au plus fort de son implantation, l’organisation clandestine pouvait mobiliser 300 personnes pour une action. Les dérives mafieuses du nationalisme corse s’expliquaient par le fait que « la lutte armée avait précédé la représentation politique », et non l’inverse, jugeait-il. « L’action clandestine a ceci de pervers qu’elle donne un pouvoir incontrôlé ».

Le 14 juillet 2012 : Décès d’Yves Stella, militant politique de la première heure.

Le 15  juillet 2012 : La presse se fait l’écho du décès d’Yves Stella.

Les réactions politiques :

Paul Giacobbi, président du conseil exécutif, salue « un homme de conviction, de culture et d’humour aussi qui va beaucoup nous manquer ».

Il était « un exemple, un point fixe dans l’histoire du nationalisme corse« , a souligné pour sa part Jean-Christophe Angelini, du mouvement autonomiste Femu a Corsica. Selon lui, « Yves Stella représentait le militant fidèle à la Corse, la figure type de l’intellectuel engagé, le penseur avec sa capacité à imaginer les choses, et l’élu local nationaliste qui s’engageait auprès de sa commune ».

La mort d’Yves Stella est une « perte immense pour la Corse car il en a fait le combat de sa vie », a réagi dimanche auprès de l’AFP Ghjuvan Filippu Antolini, du parti indépendantiste Corsica Libera.

« Nous étions très liés. Yves était reconnu pour sa gentillesse, son engagement indéfectible en faveur de la communauté du Cap. Il s’était fait apprécier pour son intelligence, sa culture, son sens de la solidarité, sa liberté d’esprit, son honnêteté intellectuelle ». François Orlandi.

« C’est pour moi un grand choc. Yves était une personnalité marquante et attachante, qui a beaucoup apporté à la Corse. Il avait le sens de l’écoute, du dialogue, de l’intérêt collectif. Il avait une plume extraordinaire, et c’était un bourreau de travail »« Il était aussi respecté de tout le monde, y compris de ses opposants politiques » Léo Battesti

 « Un compagnon engagé, dévoué, agréable, désintéressé, doté d’un œil critique qu’il ne fermait jamais », dit de lui François Alfonsi, le député européen.

Jean-Pierre Santini :  Hommage à mon compagnon de lutte Yves Stella qui contribua notamment à la rédaction du manifeste historique du FLNC et qui s’engagea dans toutes les formes de lutte pour la libération nationale du peuple corse.

Fabiana Giovannini, Partitu di a Nazione Corsa : U nostru fratellu Yves Stella ci hà lasciatu. S’hè spentu in u so paese di Morsiglia è ci lascia in u dulore affettivu di a pèrdita d’un amicu caru, ma dinù di a pèrdita cullettiva ch’ellu raprisenta per tuttu un èpica di un naziunalìsimu, di lotta è di fede. L’intarru si ferà in paese marti à 4 ore dopu u meziornu. Un umagiu serà resu da i so fratelli di u Partitu di a Nazione Corsa. Sta sera, veghja sta sera in u Cunventu di Morsiglia.

Sauveur Gandolfi-Scheit : Mes pensées vont bien entendu à son épouse et à l’ensemble de la famille, à qui je présente mes sincères et attristées condoléances. Elles vont aussi vers les élus et la population de Morsiglia, qui pleurent aujourd’hui ce qu’on peut appeler un vrai élu de terrain.

Véritable figure de la politique insulaire, Yves était un homme de conviction, qui avait conscience de faire partie de l’histoire moderne de la Corse. Journaliste dans l’âme et de ce fait toujours prêt à débattre, c’était un intellectuel très proche de ses administrés, qui avait réussi à assurer une vraie unité municipale.

Avec humilité et un humour parfois caustique, il était sans cesse à la pointe du combat pour la défense de la ruralité, prenant notamment une part active au noble travail de la communauté de communes du Cap-Corse. Avec une connaissance des dossiers qui n’était pas sans dérouter ses interlocuteurs, son rôle a ainsi été particulièrement prépondérant sur les questions de la qualité des réseaux électriques et de télécommunications ou encore du parc éolien et photovoltaïque de Meria-Morsiglia.

Aujourd’hui c’est à la fois un collègue et un ami qui nous quitte, mais aussi et surtout un homme de bien, qui laissera dans la mémoire collective une empreinte à la mesure de son amour pour la Corse.

Addiu ô Yves, riposa in pace !

Photos

La Presse

15 Juillet 2012 : Yves Stella est mort, à l’âge de 69 ans, des suites d’une longue maladie. L’actuel maire de Morsiglia, était un militant nationaliste de la première heure, et fondateur du FLNC (selon la presse). Il avait été arrêté en 1977, après les attentats contre le relais de télévision du Pignu. Condamné par la cour de sûreté de l’état, il avait écopé de nombreuses années d’emprisonnement. Proche à l’époque du MPA, il était maire de sa commune de Morsiglia depuis 1995. Village où il sera inhumé mardi. Radio Alta Frequenza présente ses sincères condoléances à la famille et à tous les proches d’Yves Stella.

15 juillet 2012 : Décès d’Yves Stella, un des fondateurs du FLNC(selon la presse). Militant nationaliste de la première heure, il avait été un des fondateurs du FLNC(selon la presse). Arrêté après l’attentat contre le relais de télévision du Pignu en 1977, il avait purgé une peine de prison après avoir été condamné par la cour de sûreté de l’état. Il avait ensuite été un compagnon de route d’Alain Orsoni et de Léo Battesti au sein du MPA. Depuis 1995 il était maire de Morsiglia. Il est décédé ce matin à l’âge de 69 ans, des suites d’une longue maladie. Ses obsèques seront célébrées mardi après midi au couvent de Morsiglia.

Le 17 juillet 2012 : Le dernier hommage à Yves Stella. Le dernier hommage rendu cet après-midi à Yves Stella. Le maire de Morsiglia est décédé dans la nuit de Samedi à Dimanche des suites d’une longue maladie à l’âge de 69 ans. Plusieurs centaines de personnes, militants nationalistes, élus et autres proches et amis. Nombreux sont ceux qui étaient présents aujourd’hui au couvent de Morsiglia pour accompagner le défunt à sa dernière demeure . (RCFM)

Reportage de France 3 Corse : Sur ce lien

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