Que dire de Sauveur Gandolfi-Scheit sinon qu’il a rempli son mandat non de vagues promesses mais d’actions soutenues et souvent efficaces.
Et qu’il a tenu le devant de la scène dans sa circonscription et même au-delà. On ne lui reprochera donc pas d’avoir traîné des pieds au palais Bourbon et d’y avoir fait de la figuration. Il peut donc demander d’y rester pour une nouvelle mandature. Sans crainte d’être accusé d’un certain immobilisme.
Les scores de Nicolas Sarkozy à l’élection présidentielle dans votre circonscription sont-ils de nature à vous rassurer ou ne pensez-vous pas que la prudence reste de rigueur ?
La 1ère circonscription de la Haute-Corse a renouvelé massivement sa confiance à Nicolas Sarkozy avec près de 56% et plus de 4.000 voix d’avance sur le candidat socialiste. La quasi-totalité des grandes communes ont très nettement voté à droite et ce n’est que d’extrême justesse que le nouveau Président de la République a obtenu la majorité des suffrages à Bastia, pourtant présentée par les observateurs comme la « citadelle imprenable » de la Gauche. Dans ces conditions je ne peux être que très optimiste pour les élections législatives, où je me présente fort d’un bilan incontestable et avec l’appui de l’ensemble de la famille libérale.
Votre mandature a été, semble-t-il, riche en interventions diverses. Quelles sont celles qui vous ont donné le plus de satisfaction ? Et celles qui n’ont pas été suivies d’effet ?
Ma plus grande satisfaction aujourd’hui est d’entendre des Corses de toutes les tendances politiques saluer l’ensemble de mon action et mon investissement constant au cours de ces cinq dernières années. Mon bilan de mandature a été distribué dans toute la circonscription et chacun peut désormais juger sur pièces. Je pense m’être battu avec courage sur quantité de dossiers complexes qui étaient même considérés comme « perdus d’avance ».
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :