Au lendemain de l’embuscade dont il a été la cible, Olivier Sisti a été plongé dans un coma artificiel à l’hôpital de Bastia. Blessé, à la merci de ses agresseurs, il a sauvé sa vie dans d’incroyables circonstances.
C’est un peu comme s’il avait regardé la mort dans les yeux avant de lui dire : « Je ne te suivrai pas ».Avec le recul, un regard plus éclairé sur la tentative d’assassinat à laquelle Olivier Sisti a échappé lundi matin fait froid dans le dos. Le gérant du restaurant le Bahia,incendié quelques heures auparavant à Ghisonaccia, a bien failli être la septième victime d’une guerre qui ensanglante la Plaine orientale depuis le 25 octobre 2010… ce jour où il faillit lui-même inaugurer la sinistre série.
Mais au pied du fort d’Aléria, le ou les agresseurs étaient bien plus déterminés que le tireur qui, route de la mer, à Ghisonaccia, avait surgi de l’obscurité avec plus de maladresse que d’acharnement.
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