(Unità Naziunale, Lutte de Masse, Corsicainfurmazione.org, Publié le 25 janvier 2025) Nous venons d’apprendre, non sans inquiétude, que Marco Furfaro avait été transféré ce matin, certainement vers un centre d’orientation en France, première étape pour son extradition vers l’Italie.
Ce dernier est clairement menacé de mort et sa sécurité dans les prisons italiennes ne peut pas être assurée. Sa famille en Corse a déjà reçu une lettre de menaces laissant clairement entrevoir le danger. Nous rappelons que Marco, militant de notre collectif, est un ancien prisonnier politique et un honnête travailleur qui exploite, depuis de nombreuses années, une pépinière à Lucciana. Nous nous indignons du traitement injuste appliqué à Marco Furfaro, sur les bases de divagations d’un chef mafieux repenti aux mains ensanglantées. Le collectif Patriotti apporte son soutien total à Marco Furfaro et à sa famille dans cette épreuve difficile.
Patriotti
Nous venons d’apprendre, non sans inquiétude, que Marco Furfaro avait été transféré ce matin, certainement vers un centre d’orientation en France, première étape pour son extradition vers l’Italie.
Ce dernier est clairement menacé de mort et sa sécurité dans les prisons italiennes ne peut pas être assurée.
Sa famille en Corse a déjà reçu une lettre de menaces laissant clairement entrevoir le danger.
Nous rappelons que Marco, militant de notre collectif, est un ancien prisonnier politique et un honnête travailleur qui exploite, depuis de nombreuses années, une pépinière à Lucciana.
Nous nous indignons du traitement injuste appliqué à Marco Furfaro, sur les bases de divagations d’un chef mafieux repenti aux mains ensanglantées.
L’associu Sulidarità et collectif Patriotti apportent leur soutien total à Marco Furfaro et à sa famille dans cette épreuve difficile.
L’associu Sulidarità et collectif Patriotti
COMMUNIQUÉ DE MAITRE LUCA AU NOM DE LA FEMME ET DES FILLES DE MARCO FURFARO
Corti, le 25 janvier 2025 La famille apprend ce matin alors qu’elle se trouvait devant la maison d’Arrêt de BORGO pour lui rendre visite, que celui-ci aurait été extradé hier sans possibilité qu’elle puisse l’embrasser une dernière fois… Si la même famille peut comprendre les raisons d’une telle précipitation pour des raisons de procédure carcérale et de sécurité, elle espère néanmoins que les autorités franco- italiennes, selon une coopération dont les acteurs judiciaires se sont largement fait l’écho par voie de presse (trop) largement médiatisée, feront preuve d’autant de vigilance pour sauvegarder sa sécurité et son intégrité physique qui est incontestablement en danger, et peu importe, les décisions rendues par les juridictions françaises, de façon inexplicable, voire illégale, tant d’un point de vue factuel qu’à l’appui de l’arsenal juridique qui permet d’interroger et de contribuer à la manifestation de la vérité sans imposer une extradition comportant outre de nombreux risques pour les raisons largement exposées, mais constituant de surcroît une atteinte disproportionnée à ses droits les plus élémentaires notamment celui d’être incarcéré proche de sa famille. Je note à ce titre, que le principal accusateur dans ce dossier, qui serait, selon les sources judiciaires qui se sont très largement exprimés publiquement… l’auteur de nombreux crimes de sang, a pu bénéficier quant à lui, d’un régime, à tout le moins carcéral, bien plus favorable, lui évitant notamment d’être extradé et traduit devant les autorités judiciaires françaises et incarcéré sur le territoire national, mais bien au contraire, que ce sont celles-ci qui se sont déplacés pour l’entendre. C’est uniquement et en vain, le même traitement de droit qui est sollicité depuis le début de son interpellation, tant par les proches, que par la défense de Monsieur FURFARO.
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