(Revue de presse – Corsicainfurmazione.org – Publié le 3 octobre 2024) L’Exécutif de Corse avait 4 ans pour préparer la transition de la gestion des ports et aéroports de Corse.
Pour Core In Fronte, la régie directe aurait dû être une solution privilégiée, étudiée, planifiée et mise en oeuvre.
À 3 mois d’une échéance capitale, pour les 1000 salariés directement rattachés aux ports et aéroports, leur action syndicale est légitime. En attendant, le refus d’une solution transitoire par l’Etat français, à travers un Syndicat Mixte Ouvert, ouvre la porte à l’incertitude et la marchandisation de la Corse.
La Corse n’a pas à être l’otage de conflits internes au sein du Gouvernement français entre Retailleau et Bercy. Les transports, les ports et les aéroports sont un secteur stratégique pour la Corse. Il est hors de question de voir une multinationale, comme Vinci, Bolloré ou Eiffage, s’accaparer ces outils. Nous ne pouvons accepter le modèle libéral de l’Europe de la finance. Nous demandons une session extraordinaire de l’Assemblée de Corse sur cette question sous huitaine. Chjamemu i nostri militenti à a mubilisazione.
CORE IN FRONTE
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