(Unità Naziunale – lutte institutionnelle – publié le 6 mai 2021) Notre parti sait d’où il vient, d’un passé de luttes et de sacrifices, en ayant toujours pour objectif l’unité du mouvement national pour parvenir à la libération nationale, et sait où il va, vers la construction d’une nation souveraine ou les droits de notre peuple seront enfin respectés sur sa terre.
Aujourd’hui, un de nos partenaires a fait le choix de changer de direction et tente de se dédouaner en rejetant la faute sur les autres. Devant le peuple Corse, nous réaffirmons que rien ni personne ne peut, même en utilisant le mensonge, nous faire porter la responsabilité de cette désunion dont les cadres de Femu A Corsica sont les seuls responsables. ⤵️
À eux d’avoir le courage d’assumer une situation dommageable qui vient mettre à mal les espoirs suscités par l’union et hypothéquer l’avenir politique de la Corse.
Per contu nostru, cunvinti chì u « post-naziunalismu » hè un anacronismu periculosu, cuntinueremu di luttà da pudè infine fà lu stu Paese, per permette à u nostru populu di campà degnu è liberu annant’à a so terra.
C’est donc avec la même détermination qui nous porte depuis des décennies, que Corsica Libera sera présente sous ses propres couleurs aux élections territoriales.
Corsica Libera
6 mai 2021
(Alta Frequenza) (Corse Net Infos) (Corse Matin) (France 3 Corse) (Le Petit Corse) (RCFM)
Le reportage de France 3 corse (ci-dessus) rappelle les prises de positions des cadres de Femu a Corsica
Le 25 avril 2021, Jean-Felix Acquaviva, secrétaire général de Femu a Corsica, ouvre une nouvelle fois la porte à une dislocation de la coalition en indiquant vouloir rompre avec la logique des partis et des quotas de places au sein de l’exécutif qui était mis en œuvre.
En juin 2019, lors d’une réunion publique, Gilles Simeoni prévenait déjà : « Cet accord ne nous parle pas de la façon de faire les listes aux élections, ni municipales, ni territoriales.«