Le 17 avril prochain, c’est la journée internationale des prisonniers politiques (<– lien ici)
(Unità Naziunale – Lutte Internationale – Publié le 7 avril 2021) Le rapport annuel d’Amnesty International sur les droits humains souligne le mauvais traitement des agents de santé et des personnes âgées dans les résidences pendant la pandémie.
Prisonniers politiques et violence policière
Il y a un autre aspect qu’Amnesty International continue de dénoncer: les cas de brutalités policières contre les électeurs lors du référendum du 1er octobre 2017 continuent de faire l’objet d’une enquête judiciaire. Et plus encore: rappelez-vous que Jordi Sànchez et Jordi Cuixart restent incarcérés malgré les demandes répétées de cette organisation d’être libérés.
En outre, Amnesty International rappelle également que la loi sur le bâillon – maintenant avec un gouvernement du PSOE et de United We Can – reste en vigueur et qu’elle « criminalise certaines formes légitimes de protestation », et en particulier la liberté d’expression, de réunion et de réunion. Information et la capacité d’accorder un pouvoir plus coercitif aux forces de sécurité.
Enfin, le rapport critique également le traitement réservé par l’État espagnol aux immigrés arrivés aux Canaries, où des ordres d’expulsion ont été émis sans respecter les garanties et procédures contenues dans la loi, ainsi que les conditions de surpopulation et d’insalubrité dans les centres temporaires pour immigrés en Ceuta et Melilla.