(Unità Naziunale – Lutte internationale – Publié le 11 janvier 2021 – Source) Sur décision de la Commission électorale centrale de considérer VOX comme une force prioritaire, le CUP considère que les organisations politiques qui profitent des temps de crise pour attiser la méfiance, l’intolérance et les troubles ne peuvent pas se normaliser.
En ce sens, ils regrettent la décision de la Catalan Audiovisual Media Corporation et sont convaincus qu’elle ne finira pas par être exécutée, car ils ne comprendraient pas qu’une exception a été faite pour laisser la place à une formation d’extrême droite qui répand un discours «de haine, sexiste et raciste ». Par conséquent, ils continuent de placer la responsabilité collective des partis et des candidats participant aux élections du 14 février, de rejoindre un grand pacte national antifasciste (PNA), que le parti a déjà mis sur la table en dernier. Novembre.
Travailler à l’établissement de lignes rouges communes, d’un front antifasciste et populaire, travaillant aux côtés de toutes les organisations qui défendent les droits fondamentaux dans la rue et où celles-ci ont un rôle clé de contrôle et de contrôle avec le ferme engagement des parties à défendre les droits fondamentaux, à se cristalliser dans un pacte qui signifie non seulement l’arrêt des tendances fascistes, mais aussi des causes qui favorisent leur augmentation.
Création d’un pacte national antifasciste à partir d’un travail commun de l’ensemble des organisations féministes, antifascistes, antiracistes et de défense d’une vie digne, garantes de la défense des valeurs et des droits universels.
Établissement d’un code d’éthique pour les représentants politiques du Pacte national antifasciste, qui lie les organisations politiques qui y adhèrent.
Mettre en place un mécanisme de contrôle des campagnes par les organisations de défense des droits de l’homme pour s’assurer que le racisme, la xénophobie, la masculinité et d’autres formes de haine et de violation des droits de l’homme sont utilisés comme outils électoraux
Convenir d’un espace médiatique pour les organisations prônant une vie digne égale ou supérieure à ce que VOX a et aura afin de diffuser et contrer leur discours.
Travailler sur le Pacte national antifasciste sur des lignes communes qui serviront également à impliquer les institutions publiques dans la lutte contre l’extrême droite.
Consolider à moyen terme cet espace de luttes communes et partagées à travers la promotion d’une rencontre avec des groupes qui luttent pour une vie digne (antifascistes, antiracistes, féministes, défense du logement, …), où travailler collectivement pour combattre les causes du fascisme à la racine.