(Unità Naziunale – Lutte Internationale – Publié le 7 janvier 2021) Dix ans après l’abandon de la lutte armée par l’organisation séparatiste basque, et près de trois ans après sa dissolution, ils revendiquent « le droit de vivre librement » au Pays basque.
Ce mercredi 6 janvier 2021, en fin de matinée, une quarantaine d’anciens prisonniers et de réfugiés basques se sont rassemblés devant les halles de Bayonne pour dénoncer les « mesures d’exception » dont nombre d’entre eux estiment faire l’objet.
Dans un texte lu à la presse, ils citent, pour exemple, la situation des quelques 200 ex-militants d’ETA toujours incarcérés en France et en Espagne, près de trois ans après la dissolution de l’organisation.