Le conseiller général du premier canton de la Corse-du-Sud et conseiller municipal d’Ajaccio s’engage dans la bataille des législatives. Une échéance importante, de surcroît un mois après les présidentielles. Porte-drapeau d’une droite de nouveau rassemblée autour d’un même projet, l’Ajaccien brigue un mandat de député et nous expose, dans cet entretien, ses grands axes en cas d’élection.
Un an après avoir été élu conseiller général, vous êtes présent aux élections législatives. Qu’est ce qui vous a conduit à poser votre candidature ?
Ce choix, qui est le fruit d’un cheminement de six mois s’est dessiné dès l’an dernier à la suite d’une réflexion que j’ai entamée. De nombreuses personnes, au sein de mon entourage, considéraient que je pouvais faciliter le rassemblement au sein de ma famille politique dès le premier tour des législatives. Ensemble, nous avons donc réfléchi à la manière d’aborder cette échéance, en songeant, avant tout, à retrouver l’union. On a compris qu’il ne fallait pas rééditer les erreurs du passé, notamment lors des précédentes législatives. Ce travail effectué en amont m’a, ensuite, conduit à présenter officiellement ma candidature fin 2011 puis à bénéficier de l’investiture de l’UMP courant janvier. Mais je n’ai pas voulu m’arrêter là.
suite et source de l’article du Journal de la Corse
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