(Unità Naziunale – 11 février 2018 – 17h00) S’il y a bien un concept que le mouvement national devait se garder de prendre à son compte au bout de 40 ans de lutte, c’est celui d' »hurler avec les loups ».
De faire donc comme pourrait le faire un élu du clan, un des sbires de l’Etat colonial.
La presse « aux ordres » stigmatise un militant historique de la lutte de libération nationale, elle se fait le relais de l’Etat Colonial qui depuis la victoire de décembre ne sait pas comment se débarrasser des nationalistes, enfin d’une partie des nationalistes.
Avant même de savoir à qui appartient le compte, les loups « hurlent », et se placent en collaborateurs de la répression visant une publication sur un compte facebook appartenant peut-être à un militant du mouvement national.
Ces méthodes de la colonisation rappellent les heures sombres du mouvement national : Une presse aux ordres et un Etat répressif et manipulateur qui tentent toujours de susciter la division du mouvement national.
Le Président du pays d’en face, l’a bien rappelé en humiliant les élus « locaux », qui de réactions hostiles, n’ont que « les costumes cravates » coupant des rubans tricolores. Gérer une collectivité française ne fait pas de la Corse une nation, et encore moins les élus un gouvernement indépendant, voire même autonome. Juste des élus, comme en Picardie.
Si la réaction du mouvement national doit se compter sur les réseaux sociaux, et lors des inaugurations, la lutte a belle et bien vécue.
Mais désormais la lutte est portée par tout un peuple conscient et instruit des errements du passé ! il surmontera cette ridicule épreuve et passera outre les faiblesses de quelques politiciens en-cravatés !
I Scrianzati