L’histoire du Sporting est ainsi faite, une sinusoïde de grande amplitude avec des très hauts et des très bas, des joies indescriptibles et des chagrins inconsolables. Des sentiments extrêmes qui témoignent de l’attachement durable et indéfectible de la Corse en général à ses clubs de football et à celui-ci en particulier.
Il y a quelques mois à peine, le SCB touchait le fond. Dans quelques semaines, il va en toute vraisemblance rejoindre l’élite du football, un jardin qu’il connaît bien pour y avoir déjà brillé une vingtaine de saisons, avec le secret espoir que sa capacité à se transcender pour l’amour du maillot comblera, pour une bonne part, le manque de ressources financières.
Le contexte est favorable. Même lorsque les Bleus flirtaient avec la gloire, il n’y a jamais eu autant de monde dans les tribunes. La reconstruction, certes très poussive du stade, expliquant pour partie une fréquentation record. Et il serait dommage que le climat sportif au beau fixe fût corrompu par des arrière-pensées politiques.
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