Personne ne s’oppose à la bande des 100 mètres, aux espaces remarquables ou encore aux coupures vertes… Plus difficile, en revanche, de s’accorder sur les zones à développer. Ces extensions qui, selon la loi Littoral, doivent rester limitées en continuité de l’existant, sont à l’origine de 60% du contentieux.
Complexité. Autant dire que les enjeux sont de taille. Au cours des deux jours consacrées aux assises du littoral, vendredi et samedi derniers au palais des congrès d’Ajaccio, à écouter les interventions des services de l’Etat, représentants du tribunal administratif, experts, associations de défense de l’environnement ou encore élus, on a pu appréhender frontalement la complexité à élaborer le nouveau plan d’aménagement et de développement durable de la Corse (Padduc). « Un document hybride, un document politique de présentation de l’espace et de planification de l’urbanisme », comme l’a souligné le président de l’exécutif, Paul Giacobbi, en ouverture de ces assises.
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :
Produit CORSU E RIBELLU
