Sortir des guerres idéologiques afin de rester dans le code de l’urbanisme. Le vœu du président Philippe Guislain n’a pas vraiment été exaucé hier, devant la chambre correctionnelle d’Ajaccio qui examinait le cas d’une construction au bord de l’eau, à Coti-Chiavari, sur la rive sud du plus beau golfe de Corse.
Face à ce dossier volumineux, qu’il a soupesé, le magistrat a bien constaté que « du droit avait été fait »… Il a placé le jugement en délibéré en date du 27 mars.
Le prévenu, Julien Peretti, n’était pas présent à l’audience : il est poursuivi pour des travaux exécutés entre 2007 et 2010, sans déclaration préalable et en contradiction avec le code de l’urbanisme. Il est conseiller municipal de la commune de Coti-Chiavari.
Le lièvre avait été levé par l’association U Levante, partie civile, qui s’intéressait de près à ces bases de scooter des mers dont Julien Peretti est le gérant. Sauf que les constructions de ces bâtiments se sont effectuées avec l’aval de la préfecture qui a délivré un permis définitif en bonne et due forme…
Suite et source de l’article de corsematin.com
Vous aimez cet article ? Faîtes-en profiter vos amis !
Faites passer l’information autours de vous en cliquant sur :