Les murs de la ville sont devenus les espaces d’expression privilégiés, pour des revendications en tous genres et autres manifestations pseudo-artistiques.
Si le phénomène n’est pas nouveau, il ne touchait que les bâtiments publics il y a quelques années. Aujourd’hui, les « tagueurs » ne semblent plus avoir de notion de respect envers les particuliers. Les sanctions à l’encontre des « graffeurs » sont pourtant assez élevées, de 1 500 à 30 000 euros d’amende, selon la nature du « tag », ou du bien dégradé. Un risque que semblent prêtes à courir bon nombre de personnes.
Les graffitis fleurissent sur les devantures des magasins, les façades des immeubles, voire même sur les maisons de particuliers. Sans oublier les murs de l’université, qui ont littéralement disparu sous les inscriptions.
Les messages politiques d’autrefois semblent avoir mué en incessantes luttes syndicalistes et footballistiques, avec de ça et là quelques originalités.
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