La juge la plus appréciée des nationalistes livre ses propositions spécifiques à la Corse pour laquelle au-delà des questions de sécurité, elle souhaite un vrai statut d’autonomie consacré par la Constitution
Que connaissiez-vous de la Corse ?
Entre la Corse et moi, c’est une vieille histoire. J’y suis venue pour la première fois en camping au sud de Bastia l’été 1965 avec mon mari. J’avais 21 ans, j’étais très amoureuse, et l’île est à jamais liée à cet état merveilleux. J’y suis régulièrement revenue en famille. Grâce à la campagne des Européennes et à ma très belle rencontre avec François Alfonsi, je connais aussi un peu mieux les Corses.
Quel message leur apportez-vous à ces Corses qui vivent dans un pays où la vie est plus chère, les salaires plus bas, le chômage plus haut, etc.
Que l’écologie est la solution pour le pouvoir d’achat et pour l’emploi. Je vais réglementer les loyers, construire des logements sociaux à grande échelle, permettre par des aides et des incitations fiscales la réhabilitation des maisons, trop nombreuses dans l’île, qui sont des passoires énergétiques. Au terme de mon quinquennat, j’aurais augmenté les minima sociaux de 50 %, et je sais combien la Corse est frappée de plein fouet par la précarité.
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