(Unità Naziunale – 6 décembre 2018 publié à 15h37) L’Assemblée Nationale française a de nouveau rejeté deux amendements présentés par les députés nationalistes corses concernant le rapprochement des prisonniers politiques corses.
Le débat a tourné autour de la question même de « prisonniers politiques » et des entorses au droit commun que cette qualité niée par l’état entraînent malgré tout. Les arguments de Jean Felix Acquaviva Paul André Colombani et Michel Castellani autour de l’apaisement ont suscité l’intérêt et le soutien public de nombreux parlementaires français.
16 puis 17 députés sur 49 présents ont voté les amendements présentés par les nationalistes corses.
En revanche, la ministre de la Justice, madame Belloubet a campé sur les positions classiques et anachroniques de l’état français se cantonnant au sempiternel « cas par cas » .
L’état s’enferme dans le déni du droit le plus élémentaire et le refus d’entendre les aspirations démocratiquement exprimées par la société corse dans son ensemble.
Sulidarità dénonce l’enfermement de l’état dans des logiques mortifères de toutes façons condamnées par la marche inexorable de l’Histoire.
Più chè mai, Sulidarità si ni starà mubilizatu per a liberazione di tutti i patriotti incarcerati è per l’amnistia per tutti i fatti ligati à a quistione pulitica corsa ! Libertà per i patriotti !
Associu Sulidarità
6 décembre 2018
https://www.corsicainfurmazione.org/1388686/le-rapprochement-des-prisonniers-politiques-nest-toujours-pas-une-obligation-resume-depuis-les-premieres-revendications-du-comite-anti-repression-corse/2018/