La défense « de rupture » de Guy Orsoni se confirme. Le jeune homme, détenu dans deux dossiers d’assassinats et mis en examen dans trois affaires (toutes regroupées au cabinet du juge Choquet) avait commencé à cesser de s’alimenter le 13 février. Un mode d’action « politique » pour des incriminations de droit commun. Avec une nuance de taille. Dans les dossiers politiques, la plupart du temps, les personnes détenues revendiquent les actes qu’on leur reproche. Là, Guy Orsoni crie son innocence, mais utilise les armes de ceux qui se battent pour une cause, face à une juridiction qui, il faut le reconnaître, utilise des moyens exceptionnels qui ressemblent comme des frères jumeaux à ceux de l’antiterrorisme…
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