MARSEILLE (Reuters) – Une dizaine de personnes soupçonnées d’appartenir au grand banditisme corse devaient être déférées vendredi devant un juge marseillais pour une probable mise en examen dans le cadre d’une enquête sur des faits de racket.
Le parquet de Marseille a requis un mandat de dépôt pour huit d’entre elles, a déclaré le procureur de la République, Jacques Dallest.
Les enquêteurs les soupçonnent de racket et d’extorsion de fonds principalement au préjudice d’établissements de nuit de la région d’Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône.
« Les chefs de mise en examen devraient être: extorsion en bande organisée, association de malfaiteurs en vue du crime d’extorsion en bande organisée, non justification de ressources aggravée en lien avec le délit d’association de malfaiteurs et les crimes d’extorsions en bande organisée », a précisé Jacques Dallest dans un communiqué.
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