On n’échappe pas aux clichés. En Corse, de nombreuses personnes s’inquiétaient de ce que pourrait donner un film sur « les anonymes ». Pour des raisons diverses, les craintes de « caricatures » étaient très largement exprimées. À l’inverse, à Paris, on n’a eu de cesse de mettre en garde Florence Dormoy la productrice, Pierre-Erwan Guillaume, le scénariste, et Pierre Schœller, le réalisateur. « Vous allez tourner en Corse ? Vous êtes dingues ! »
On promettait à ces « inconscients » les pires ennuis. Des relations conflictuelles avec tout le monde, des menaces, des pressions… Trois semaines après les premières prises de vue dans les rues d’Ajaccio, au moment de rentrer à Paris pour finaliser les scènes qui se joueront en studio, on peut déjà affirmer que l’accueil insulaire a été à la hauteur de sa réputation : excellent.
Échanges permanents
Si le courant est passé entre l’équipe de tournage et la population, ce n’est sans doute pas totalement un hasard. Florence Dormoy (Scarlett production) est une habituée de la Corse où elle vient depuis des années.
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