Guy Orsoni et Lisandru Plasenzotti, maintenus en détention, semblent bénéficier d’un traitement un peu particulier de la part de la juridiction spéciale marseillaise. À défaut d’obtenir de véritables résultats dans la plupart des affaires de criminalité organisée, dont les manifestations les plus visibles sont les nombreux règlements de comptes qui ont lieu en Corse, la JIRS (Juridiction inter régionale spécialisée) de Marseille après avoir été contrainte de remettre en liberté nombre de ses « clients », s’accroche à deux d’entre eux : Guy Orsoni et Lisandru Plasenzotti. Le premier, Guy Orsoni, après avoir été mis en examen dans trois dossiers de règlements de comptes (Thierry Castola, Sabri Brahimi, Jean-Detori et Salini Detori et Nicolas Salini), reste incarcéré dans le cadre de deux d’entre eux alors que ses complices présumés contre lesquels pesaient parfois des éléments de charge plus « lourds » ont été remis en liberté (sauf David Taddei dans l’affaire Castola).
Source et suite de l’article de Corsica
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