Pas de défaitisme de la part des services de l’État. Mais pas de triomphalisme non plus. Bilan conjoint entre le préfet de Corse Patrick Strzoda et le procureur de la République Thomas Pison.
Le bilan annuel des services de sécurité. Un exercice obligé juste avant les vœux aux services de police et de gendarmerie. Le moment où l’État rend des comptes à la population, dans son devoir de protection des citoyens. Cette année n’a pas fait exception, le préfet de Corse Patrick Strzoda et le procureur Thomas Pison sont venus décortiquer les chiffres de la délinquance et de la criminalité. Autour d’eux, tous les chefs de service de la police et de la douane ainsi que les officiers de la gendarmerie, sous la houlette de Jean-François Lelièvre, le coordonnateur des services de sécurité intérieure. Et une première difficulté. La Corse est une île. Mais ce sont aussi deux départements. Et nombre de statistiques (hormis les attentats et les homicides) sont établies de manière départementale.
Deuxième écueil, le « mélange des genres ». Évoquer au même moment les vols de téléphones portables et les homicides apparaît parfois comme un exercice surréaliste.
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