Le chanteur d’ I Muvrini était accusé de plagiat. Le jugement rendu jeudi par le TGI de Paris a débouté, pour l’essentiel, la plaignante. L’affaire avait fait grand bruit à l’été 2008, avec l’assignation devant le tribunal de grande instance de Paris du chanteur-auteur, Jean-François Bernardini, pour « contrefaçon »… Un coup de tonnerre dans l’univers musical, où l’artiste jouit d’une réputation d’« homme de convictions et surtout intègre ».
Les médias s’en mêlent avec des unes accrocheuses pour certains.« La voix de la Corse accusée de plagiat ». Plagiat. Un mot qui constitue certainement la pire accusation pour un artiste… Et c’est une ancienne proche du chanteur d’ I Muvrini, Marie-Paule Pereney qui la porte en affirmant avoir collaboré gracieusement depuis le début des années 1990 à l’écriture de chansons du groupe, à leur traduction en français, ainsi qu’à l’écriture de textes ensuite repris par Jean-François Bernardini, sans être créditée.
158 000 € réclamés pour préjudice moral
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