Dans son rapport annuel, publié le 22 février dernier, Amnesty international épingle une nouvelle fois l’Etat français.
En cause, la restriction des droits fondamentaux dans le cadre des mesures prises pour lutter contre le terrorisme, en particulier l’état d’urgence, décidé après les attentats djihadistes du 13 janvier 2015 et prolongé depuis.
De fin 2015 à fin 2016, seules 0,3 % des mesures liées à l’état d’urgence ont débouché sur une enquête judiciaire pour faits de terrorisme, dénonce-t-elle . « Au regard du droit international, sa prolongation est injustifiable » estime l’ONG.
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A l'accorta annant'à Google Infurmazione
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