De New York à Sarcelles en passant par la Corse, le plus strauss-kahnien des socialistes, qui a quitté la campagne présidentielle, contre-attaque. Criant à la manipulation
Cheveux blancs, barbe naissante et regard perçant. Le style DSK. La ressemblance avec son « ami Dominique » n’est pas seulement physique. Le député-maire de Sarcelles, François Pupponi, a lui aussi été happé par des scandales. Pas dans les alcôves new-yorkaises, mais dans les cercles de jeux parisiens. L’ancien monsieur sécurité de la candidate Aubry a été dénoncé par un employé municipal. Il jouerait les consiglieri pour le milieu corse. Sinon les parrains… « Du pur fantasme », soupire-t-il en sonnant l’heure de la contre-attaque. Trois plaintes ont été déposées par son avocat Me Jean-Dominique Lovichi contre ses accusateurs. Le député Pupponi est sorti de son silence, hier dans les locaux de Corse-Matinà Ajaccio, en faisant ce qu’il sait faire : de la politique. Sans se renier. En corse et en Strauss-Kahnien.
Proche de DSK, comment vit-on ce rendez-vous manqué avec la présidentielle ?
À la fois comme un terrible gâchis et comme un cauchemar. Même si rien n’était fait avant, Dominique était quasiment sûr d’aller jusqu’au bout.
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